
Du SPJ à la DGEJ
Le Service de Protection de la Jeunesse
... en 2020 ... devenu ...
La Direction Générale de l'Enfance et de la Jeunesse
Lausanne Cités du 23-24 avril 2025

Article en page 3
Éditorial
Article
Merci à ces dames pour leurs deux témoignages
Pourvu que d’autres suivent l’exemple. Sans peur.
Le sujet est de haute importance et la situation est grave.
Ce qui doit être dit, doit être dit.
Encadré

Dans l’intérêt supérieur de l’enfant
Vraiment ?
Concédez qu’il est difficile de le croire.
Les chiffres … toujours les chiffres … Comme c’est confortable !
Les chiffres ne disent au final pas plus que leur nombre et ils n’aident en rien le drame individuel que représente chacune de ces situations.
Savez-vous qui a dit ? :
» Les statistiques, c’est comme le bikini. Ce qu’elles révèlent est intéressant (je dirais même “peut-être intéressant“), mais ce qu’elles occultent est essentiel. «
Il en va de la santé (physique et mentale) de tous ces enfants.
Le canton de Vaud (la Suisse?) serait-il en train de suivre le “modèle“ américain ?
Depuis le changement de gouvernance, le SPJ étant devenu en 2020 la DGEJ, aucune amélioration ne se constate. Au contraire, la situation continue de s’aggraver de jour en jour.
Jusqu’où cela ira-t-il ?
De-ci de-là, nous sont rapportées des situations – DES DRAMES – dignes des pires téléfilms américains sur le même sujet. Films qui montrent ce qui se passe pour de vrai dans leur pays, qui souvent dépasse encore la fiction, comme nous le savons. Films auxquels notre réalité vaudoise (suisse?) sur ce même sujet commence sérieusement et de manière effrayante à trop ressembler.
Comment ne pas s’inquiéter et ne pas se demander si le canton de Vaud (la Suisse?) ne serait pas – à l’insu de son plein gré ou pire tout à fait consciemment et intentionnellement – en train de s’engager dans une direction similaire, pour adopter un système qui devient lentement mais sûrement une copie conforme du “modèle » – CAUCHEMARD – américain.
Que dire pour clore ce billet ? , mais pas le sujet !
L’intention. Tout est là. Ou presque. Si l’intention est noble, le chemin qui sera choisi pour chaque cas à solutionner, lui correspondra au mieux.
Primordiale et déterminante avant toute autre chose, l’intention se doit d’être noble.
L’est-elle ?
Un peu d’histoire pour l’occasion
L’histoire nous raconte et nous montre que la Suisse ne peut malheureusement pas se prévaloir de s’être comportée de manière exemplaire et irréprochable en matière de prise en charge et de protection de l’enfant et de la famille.
https://www.unige.ch/lejournal/analyse/printemps-2021/placement-enfants-suisse/
https://www.histoiredelasecuritesociale.ch/institutions/institutions-cantonales-ou-locales-et-institutions-privees/la-protection-de-lenfant-et-de-ladulte