Semaine nationale de vaccination 2025 en Suisse

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Grippe, Dite maladie Covid-19, Virus Respiratoire Syncytial

CELA S’APPELLE LE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

À chacun de faire l’effort d’étudier le sujet de bout en bout, afin de le comprendre dans son entier, puis de décider en connaissance de cause, ce qui est bon pour lui et pour ses enfants.

La seule manière.

Il n’y a pas d’autre solution.

CELA S’APPELLE LE REFUS ÉCLAIRÉ

C’est ce qu’a pris la peine de faire cet homme, Andrew Moulden ( 1964 – 2013 )

Médecin, neurologue, passionné et dévoué, pour nous apprendre ce qui suit :

Un éclaircissement FON-DA-MEN-TAL !

Cependant, malgré tout, envers et contre tout : 

OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique)

https://www.bag.admin.ch/fr/newnsb/FgjQ1aLStSUTvBZtVpofG

Ainsi que :

Et avec l’aide de quelle image ! , pour promouvoir la vaccination en Suisse.

Décidément, une fois encore on mélange tout.

“Trois hommes et un couffin“, le congé paternité, la race, la technologie, la techno-médecine, …

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Les Doctrines de Sir Emanuel Swedenborg

Les Doctrines de Sir Emanuel Swedenborg

Les Doctrines de Sir Emanuel Swedenborg

Une merveilleuse boîte à outils haut de gamme

La philosophie au service de la vérité, par la raison et la logique.

Parallèle entre Saint-Thomas d’Aquin et Sir Emanuel Swedenborg

Sir Emanuel Swedenborg a-il étudié Thomas d’Aquin ?

Un peu comme Saint-Thomas d’Aquin (1225-1274), qui , dans son domaine, a utilisé la philosophie (principalement d’Aristote) pour définir un cadre dans lequel la raison peut s’utiliser, Sir Emanuel Swedenborg (1668-1772) s’appuie également sur la philosophie, principalement les écrits d’Aristote et de Christian Wolff, pour élaborer ses Doctrines, qui constituent de manière semblable un cadre et un outil de raisonnement et d’analyse, structuré, ordonné consistant et solide, qui sous-tend et soutient l’ensemble de son Oeuvre Médico-Scientifique, aussi bien sa “charpente“ que sa “substance“.

Un peu comme Saint-Thomas d’Aquin affirme que la connaissance de l’existence de Dieu est révélable par la raison, Sir Emanuel Swedenborg nous explique que l’être humain et le corps humain sont révélables et saisissables jusqu’au plus près du firmament, et même au-delà, c’est-à-dire beaucoup plus loin que ce que l’oeil humain est capable de voir (que ce soit l’oeil nu ou l’oeil aidé par la technologie de l’époque), par l’utilisation appropriée et honnête de la raison et de la logique, supportées au besoin par les mathématiques.

Le but ultime et commun dans les deux cas étant de démontrer la réalité et la rationnalité de Dieu et de Sa Création, en utilisant avec grande intelligence et jusqu’au bout du bout, la raison et la logique, dont est doté l’esprit humain.

Les Doctrines: que sont-elles ?

Il s’agit d’un outil de travail. Une sorte de fil conducteur, proposé à des fin d’étude, d’analyse et de compréhension de l’être humain dans son entier, corps et âme, toujours en lien avec sa relation à Dieu. Que ce soit l’embryologie, l’anatomie, la neuro-anatomie, la physiologie, la neuro-physiologie, la bio-chimie, la neuro-biochimie, le métabolisme, le sang, le liquide céphalo-rachidien, …, le mental, l’émotionnel, le conscient, le non conscient, …

Système de pensée unique en son genre, élaboré avec l’aide de la philosophie et parfois des mathématiques, qui n’a rien à voir avec la notion d’endoctrinement. Bien au contraire. Nous parlons ici d’un ensemble de règles de base fondées et de nature inaliénable, à suivre à chaque pas, lors de toute observation, de toute analyse et de toute conclusion, afin d’amener à une compréhension impeccable, selon un raisonnement parfaitement logique, irréfutable et vérifiable, qui ne laisse rien passer, et qui permet par là-même de prouver l’existence d’une relation de cause à effet selon une hiérarchie extrêmement précise qui n’accorde aucune once de place au hasard, à aucun moment, à aucun étape de l’étude.

Une boîte outil de luxe, sans faille, applicable à chaque stade de l’apprentisssage de l’être humain, en tant que matière organique qui abrite une âme, elle de nature spirituelle – qui lui vient directement de Dieu et qui est unique et personnelle à chaque individu, ce qui fait précisément de lui un individu.

Une “méthode“ applicable à quoi que ce soit que l’on souhaiterait aborder, étudier et comprendre, de la conception à la mort de l’être humain.

Thank you, Sir Emanuel Swedenborg

Remarque

Sir Emanuel Swedenborg utilise et/ou fait référence à ses Doctrines tout au long de son Oeuvre Médico-Scientifique.

Il est cependant difficile d’en avoir une idée claire et prête à utilisation, pour celui qui n’a pas fait le tour entier (ou presque) et dans l’“ordre“, de son Oeuvre Médico-scientifique ! et rassemblé tous les passages qui concernent, expliquent et illustrent ses Doctrines.

Aussi, par souci d’efficacité, afin de permettre au lecteur de mieux comprendre ce qu’il pourrait lire sur ce Blog au sujet de l’Oeuvre Médico-Scientifique de Sir Emanuel Swedenborg, j’ai fait le choix de présenter ici, telle quelle, la synthèse et la présentation de ces Doctrines faite par le traducteur – magnifiquement bien traduit du latin par Monsieur James John Garth Wilkinson (1812-1899, Londres, Angleterre) – car je la trouve très bien faite et suffisante pour le débutant qui ose (avec raison et avec joie j’espère !) se lancer dans l’étude de cette Oeuvre indispensable à toute personne du monde médical qui souhaite réellement connaître l’être humain dans la vérité et donc dans sa relation de facto à Dieu, par une description médico-scientifique extrêmement exigente, jusqu’au plus près possible du firmament, et même au-delà.

Sachant qu’au fur et à mesure des lectures dans cette Oeuvre Magistrale, l’apprentissage et la compréhension se complètent, se précisent et se magnifient en continu, grâce à la manière de Sir Emanuel Swedenborg de régulièrement rappeler pour le lecteur, ce qui mérite de l’être.

Primum non nocere

Comprendre l’être humain comme l’a compris et nous l’explique et expose Sir Emanuel Swedenborg, semble aujourd’hui plus que jamais, le meilleur moyen – après la Parole de Dieu (que SES prouve et confirme justement de fait dans son Oeuvre) – de s’assurer que l’on respectera ensuite en son âme et conscience (au sens littéral, en comprenant ce que cette expression signifie pour celui qui travaille dans le domaine médical au sens large) le PRIMUM NON NOCERE de Hippocrate.

The Animal Kingdom, vol. I, extraits, pp xv-xxiii & p. xxix

Introductory remarks by the transaltor

It will be the aim of the following remarks to give a general view of the doctrines of the “Animal Kingdom, » and of their relation to the past, present, and future state of science; and in so doing, to address those chiefly who are acquainted with the theological writings of Swedenborg, as forming the class by whom, at present, the work is most likely to be read, and to whom it may be the most useful and satisfactory.

The evolution of the natural sciences amounts to the creation of a new sphere in the human mind; and since this development has not taken place under the auspices of theology, but either in direct or tacit opposition to the prevailing church; since it proceeds from without, and proposes knowledge and intelligence as ends distinct from spiritual life; therefore it constitutes a sphere which is not in unison with the current doctrines of religion, but from the beginning has menaced their subversion; and which, unless reduced to order, is opposed, however true its materials in themselves may be, to the under standing of all genuine truth. It was a perception of this character in science, and also of the fact that the universal human mind was becoming immersed in scientifics, that impelled Swedenborg to enter the field of nature, for the purpose of demonstrating in it an order corresponding to the order of heaven, and thereby of making it a medium to spiritual and sacred truths. This was his paramount end in the construction of the “ Animal Kingdom .”

The system therein propounded rests upon the foundation of experience; namely, of such experience as the learned world had accumulated at Swedenborg’s time; not indeed upon the particular experience strictly and proximately belonging to any one science; for such experience would be inadequate, in the present imperfect state of our insight, to suggest the universal truths that each science involves; but upon the general experience of all ages in all the sciences. This, it is to be presumed, was Swedenborg’s meaning, when he likened himself to one of the racers of olden time, who before he could merit the crown, was commanded to run seven times round the goal; and again, when he declared that we must be instructed by all things of one thing, if we are to know that one thing thoroughly. As his theory is not derived from particular experience, so it cannot finally be either confirmed or denied by any isolated fact or facts. For it is a conclusion from the order and tenor of facts universally; in a word, from an integral survey of nature. Unless this be borne in mind, the very largeness of the field from which his inductions are drawn, and the very strictness of mind which caused him to test them through all the sciences, will only make them seem the more like baseless hypotheses. In this case the analytic process may easily be mistaken for the synthetic, and Swedenborg may be charged with committing the error which he begins his work by denouncing in others.

Swedenborg announced the starting-point of his method in the first lines of his first chapter; namely, that “the use or effect which produces the end must be the first point of analytic enquiry.” First comes the question of fact or result; next, the reasoning upon it. Unless we reason from uses, what chart have we in the exploration of structures ? To illustrate this, let it be supposed that a complicated tissue – for instance, the skin – presents us with three undoubted effects, say of absorption and excretion; from these effects we infer the existence of a threefold organism to produce them; for effects imply causes, and functions, forces, motions, accidents, &c., are predicates and unvarying signs of substances. Having proceeded so far, we have then to distribute the effects to their proper organic causes in the tissue; and thus effects furnish the rule for the first analysis of a structure. In many instances indeed it will be impossible to trace effects to visible organic causes, in which case the mental sight must take up the operation, and continue and complete it, and this, by the assistance of the several instruments and appliances which are now to be mentioned. It is impossible to understand either the Word or the works of God without doctrines, which in both cases require to be formed by “one who is enlightened“. * The doctrines made use of by Swedenborg in the “Animal Kingdom“, are the Doctrines of Forms, of Order and Degrees, of Series and Society, of Influx, of Correspondence and Representation, and of Modification. These doctrines themselves are truths arrived at by analysis, proceeding on the basis of general experience; in short, they are so many formulas resulting from the evolution of the sciences. They are perpetually illustrated and elucidated throughout the “Animal Kingdom“, but never stated by Swedenborg in the form of pure science, perhaps because it would have been contrary to the analytic method to have so stated them, before the reader had been carried up through the legitimate stages, beginning from experience, or the lowest sphere. Each effect is put through all these doctrines, in order that it may disclose the causes that enter it in succession, that it may refer itself to its roots and be raised to its powers, and be seen in connexion, contiguity, continuity, and analogy with all other things in the same universe.† They may be compared to so many special  organs, which analyse things apparently homogeneous into a number of distinct constituent principles, and distribute each for use as the whole requires. To deny any of these doctrines, or to give them up in the presence of facts that do not range upon them at first sight, is to nullify the human mind as the interpreter of nature.

The Doctrine of Forms

The Doctrine of Forms teaches thatthe forms of all things, like their essences and substances, ascend in order and by degrees from the lowest to the highest. The lowest form is the angular, or as it is also called, the terrestrial and corporeal. The second and next higher form is the circular, which is also called the perpetual-angular, because the circumference of the circle involves neither angle nor rectilinear plane, being a perpetual angle and a perpetual plane; this form is at once the parent and the measure of angular forms. The form above this is the spiral, which is the parent and measure of circular forms, as the circular, of angular forms. Its radii or diameters are not rectilinear, nor do they converge to a fixed centre like those of the circle; but they are variously circular, and have a spherical surface for a centre; wherefore the spiral is also called the perpetual circular. This form never exists or subsists without poles, an axis, foci, a greatest circle, and lesser circles, its diameters; and as it again assumes a perpetuity which is wanting in the circular form, namely, in respect of diameters and centres, so it breathes a natural spontaneousness in its motion. There are other still higher forms, as the perpetual-spiral, properly the vortical; the perpetual-vortical, properly the celestial; * and a highest, the perpetual-celestial, which is spiritual, and in which there is nothing but what is everlasting and infinite. » There is then a scale of forms, where of the higher are relatively more universal, more perfect, and more potent than the lower. The lower again involve the higher and the highest, and are generated by them: so that where there is an angular body, there is a circular form and force intimately present as its ground; where there is a circle, it is the limit of an interior spiral; and so forth. For nature operates from the very principles of geometry and mechanics, and converts them all to actuality and use. The purer substances in creation gyrate through the higher forms; the less pure circulate through the lower, or are fixed in the lowest. All the essentials of the angular form are opposed to each other, whence the origin of gravitating and inert matter, intrinsically unfitted for motion. But the other forms, according to their eminence, are more and more accom modated to motion and variation.

The Doctrine of Order

The Doctrine of Order teaches that those things which are superior in situation, are also superior in forces, in power, in dignity of office, and in use; and that a similar law determines the situation of the parts of things, and of the parts of parts.

Corresponding to the highest or first of the series of subordination, is the central or innermost of the series of coördination.

The Doctrine of Degrees

The Doctrine of degrees teaches the distinct progressions through which nature passes when one thing is subordinated to, and coördinated with another. There are three discriminated degrees in all things, both natural and spiritual,  corresponding to end, cause, and effect. In the human body there is a sphere of ends, a sphere of causes, and a sphere of effects. The body itself, comprehending the viscera of the abdomen and chest, and the external sensoria of the head, is the sphere of effects; the brain, and the whole of its appendages, are the sphere of causes; the cortical substances of the brain are the sphere of ends or principles. These spheres are subordinated to each other in just series from the highest to the lowest. The highest degree or sphere is active, the lowest is passive and reactive. The above degrees, in their order, indicate the progression from universals and singulars to generals or compounds. But every organ again involves the same triplicity of spheres; it consists of least parts, which are congregated into larger, and these into largest. All perfections ascend and descend according to degrees, and all attributes, functions, forces, modes, in a word, all accidents, follow their substances, and are similarly discriminated. Each degree is enveloped with its common covering, and communicates with those below it thereby. There is no continuous progression from a lower degree to a higher, but the unity of the lower is the compound of the higher, and in transcending that unity, we leap out of one series into another, in which all the predicates of force, form , perfection, &c., are changed and exalted. The Doctrine of Degrees enables us to obtain a distinct idea of the general principles of creation, and to observe the unity of plan that reigns throughout any given organic subject; and by shewing that all things are distinct representations of end, cause, and effect, it empowers the mind to refer variety to unity, as the effect to the cause, and the cause to the end, and to recognize the whole constitution of each series as homogeneous with its principles.

The Series

Series is the form under which the coördination and subordination of things, according to order and degrees, ultimately present themselves. The whole body is a series, which may be looked at either generally, from above to below, as comprising the head, the chest, and the abdomen; or universally, from within to without, as divisible into the three spheres already alluded to. All the organs of each region are a series; each organ in itself is a series, and every part in each organ likewise. In short, everything is a series and in a series. There are both successive and simultaneous series, but the latter always arise from the former. Essences, attributes, accidents, and qualities, follow their substances in their series. Every series has its own first substance, which is more or less universal according as the series is more or less general. This first substance is its simple, unity, or least form, governing in the entire series, and by its gradual composition forming the whole. Each series has its limits, and ranges only from its minimum to its maximum. Whatever transcends those limits at either end, becomes part of another series. The compounds of all series represent their simples, and shew their form, nature, and mode of action. The Doctrine of Series and Society teaches that contiguity and continuity of structure, are indicative of relationship of function, and that what goes on in one part of a series, goes on also, with a determinable variety, in all the other parts: wherefore each organ is to be judged of, and analysed, by all the others that are above and around it. In this manner, the whole series is the means of shewing the function of each part of itself, and indeed of analysing that function into a series similar to that of the whole; for the least in every series must represent an idea of its universe. Under the operation of this law, the point becomes a world analogous to the great world, but infinitely more perfect, potent, and universal.

Such is a very brief illustration of the Doctrines of Order and Degrees, Series and Society, from which it will be evident how closely connected these doctrines are, and that they can hardly be stated without our seeming to repeat of one what has already been predicated of the others. Degrees appear to involve the distinct progressions of creation from above to below, or from within to without: order, to appertain to the law of succession observed in degrees, whereby rank and height are given to excellence, priority, universality, and perfection; series, to involve the complex of the whole and the parts when created and coexisting; and society, to be the law of contiguity and relationship existing between different series, and between the parts of any single series. Perhaps it would not be far wrong to state in generals, that order and degrees involve the creating and successive, series and society, the created and simultaneous. But as we have said before, Swedenborg never stated these doctrines as promised in the “Animal Kingdom”, but contented himself with using them as analytic instruments in the exploration of the body; and therefore the reader will learn them best in the way of example and illustration in the Work itself.

The Doctrine of Influx

The Doctrine of Influx involves the manner in which the lower substances, forms and forces of the body subsist, as they at first existed, from the higher and the highest; and in which the body itself subsists from the soul, as it at first existed; and the natural world from the spiritual. But there is not only an influx from within, but also from without; and by virtue of both, the body, which otherwise would be a mere power, is raised into an active force.*

The Doctrine of Correspondence and Representation

The Doctrine of Correspondence and Representation teaches that the natural sphere is the counterpart of the spiritual, and presents it as in a mirror; consequently that the forms and processes of the body are images of the forms and activities of the soul, and when seen in the right order, bring them forth and declare them. It shews that nature is the type of which the spiritual world is the ante-type, and therefore is the first school for instruction in the realities of that which is living and eternal.

The Doctrine of Modification

The Doctrine of Modification teaches the laws of motion and change of state in the several auras or atmospheres of the world, and in their spiritual correspondents.

What was stated of the Doctrines of Order, Degrees, Series, and Society, as mutually supposing, or as it were interpenetrating each other, may be repeated generally of the whole of these doctrines, and this, because they are all but so many varied aspects of the one principle of divine truth or order. Like nature itself they are a series, each link of which involves all the others.

The Doctrine of Series and Degrees in conjunction with that of Correspondence and Representation

The Doctrine of Series and Degrees in conjunction with that of Correspondence and Representation, teaches that there is a universal analogy between all the spheres of creation, material, mental, and spiritual; and also between nature and all things in human society. The circulation of uses in the body perfectly represents the free intercourse of man with man, and the free interchange of commodities between nation and nation. The operations that go on in the body, analogically involve all the departments of human industry; nay, and infinitely more, both in subdivision, unity, and perfection. There is not an art or trade, whether high or low, so long as it be of good use, but the Creator himself has adopted and professed it in the human system. Nay, in the richness of his pervading love, the very prerogatives of the mind are representatively applicable to the body. End, cause, and effect, as existing in Himself, are represented in the latter as well as in the former. Liberty and rationality, the universal principles of humanity, are transplanted by analogy from the mind into the body. It presents an analogon of liberty, in that every organ, part, and particle, can successfully exercise an attraction for those fluids that are adapted to its life and uses ; of rationality, in that it acts as though it took cognizance of the adaptability, and operates upon the materials demanded and supplied, in such a manner as will best secure the well-being of itself and of the whole system.

This may account to the reader for the extremely figurative character of Swedenborg’s style, and shew that it proceeded from the reason and not from the imagination. It is because each thing is a centre to the life of all things, that each may freely use the exponent terms of all. Analogous uses in the body and the soul, furnish the point of contact between the two, and the possibility and the means of intercourse. Had Swedenborg confined himself to the dry straitness of what is now called science, he must have forfeited the end he had in view; for matter, as matter, has no communion with spirit, nor death with life. It was absolutely necessary that the body should be tinctured with life in all possible ways, when it was to be the medium of instruction respecting the soul.

Un premier exemple

The Doctrine of the skin

There is no part of Swedenborg’s system which is better worthy of attention than the doctrine of the skin. As the skin is the continent and ultimate of the whole system, so all the forms, forces and uses of the interior parts coexist within it. Moreover as it is the extreme of the body, and the contact of extremes, or circulation, is a perpetual law of nature, so from the skin a return is made to the other extreme, namely, to the cortical substances of the brain. Hence the first function of the skin is, “ to serve as a new source of fibres. » For the fibres of one extreme, to wit, the brain, also called by Swedenborg the fibres of the soul, could not of themselves complete the formation of the body, but could only supply its active grounds; and therefore these fibres proceed outwards to the skin, which is the most general sensorial expanse of the brain, and there generate the papillæ; and again emerging from the papillæ, and convoluted into a minute canal or pore, they take a new nature and name from their new beginning, and become the corporeal fibres, or the fibres of the body, which proceed from without inwards to the brain, and unite them selves to its cortical substances. These are the passives of which the nervous fibres are the actives; the veins or female forces of which the nervous fibres are the arteries or males; and “they suck in the purer elemental food from the air and ether, convey it to their terminations, and expend it upon the uses of life.”

Besides this, the skin has a series of other functions which there is not space to dwell upon at present. Inasmuch as it is the most general covering of the body, therefore it communicates by a wonderful continuity with all the particular coverings of the viscera and organs, and of their parts, and parts of parts. And as it communicates with all by continuity of structure, so it also communicates by continuity of function; the whole body being therefore one grand sensorium of the sense of touch. In short, the animal spirit is the most universal and singular essence of the body and all its parts; the skin, the most general and particular form corresponding to that essence.

Having thus bestowed a cursory glance upon some points of Swedenborg’s doctrine of the three spheres of the body, and their most general and particular continent, the skin, we shall now enlarge a little on certain subjects that have already been mentioned, in order to give them a more distinct place in the reader’s apprehension. […]

ndlr: d’autres articles suivront, dans lesquels il sera possible de comprendre toujours mieux comment Sir Emanuel Swedenborg explique, prouve et justifie tout ce qu’il affirme au sujet du corps humain, au moyen de cet inégalable et unique outil de raisonnement, d’analyse et de classement hiérarchique de cause à effet pour une fin/un but/“ends » (en anglais dans le texte) – parlant de la destinée de l’etre humain – que sont ses Doctrines.

ndlr: la mise en gras ainsi que le souligné sont le fait de la rédaction

Révision de la Loi sur les Epidémies (LEp) – Suisse 20/8/25

Révision de la Loi sur les Epidémies (LEp) – Suisse 20/8/25

Révision de la Loi sur les Épidémies (LEp) - Suisse

Conférence de presse du Conseil Fédéral, le 20 août 2025

“One Health“ dans le “New World Order“

L’essentiel de ce qui est à comprendre, d’où il en découlera tout le reste.

Citation:

“ L’approche “One Health“ qui se concentre sur l’interdépendance entre santé humaine, santé animale, santé des plantes et de l’environnement, sera également renforcée. “

Avec l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et le droit international (les lois, les règlements, les accords, …) bien présents en amont, dans toute leur “puissance“.

Ce qui signifie que l’on parle bien d’une “One Health“ mondiale/occidentale et non pas uniquement nationale suisse.

Introduction

Sur le fond, comme le montre la conférence de presse (lien ci-dessous) ainsi que les textes explicatifs (lien ci-dessous) , cette révision de la Loi sur les Épidémies (LEp) ne vise essentiellement qu’une seule chose, à savoir renforcer le projet-concept déjà en cours, nommé “ONE HEALTH“ – en anglais dans le texte, ce qui n’est pas anodin – qui dit et prédit à peu près tout ce qu’il faut savoir, AVEC TOUT CE QUE CE CONCEPT IMPLIQUE.

“ONE HEALTH“, deux mots, une expression, à ne pas perdre de vue lorsque l’on tente de comprendre ce qui se passe et se trame. En Suisse et ailleurs. Partout en occident.

“New World Order“ – en français: “Nouvel Ordre Mondial“

One World, One Country, One Race, One Bank, One Religion, One Economy, One Education, et in casu … “One Health“ …

Rien de vraiment nouveau donc, juste poursuivre et aller toujours plus loin dans l’élaboration du concept “one yxz“, que l’on observe dans absolument tous les domaines de la vie sur terre, et ici celui de la santé au sens très large. Il faudrait dire de la dite santé, car tout cela va bien entendu à l’encontre d’une santé digne de ce nom de l’être humain, celle-ci ne représentant qu’un but prétexte, le but réel étant bien entendu ailleurs, à savoir l’implantation de ce “New World Order“.

“One“ : que représente ce mot ?

Tel qu’il est repris par les “installateurs“ du “Nouvel Ordre Mondial“, qui correspond à un “One World“, “one“ représente entre autres choses qui ne seront pas développées ici, d’une part la mise en place d’un monde entièrement et totalement sous surveillance et d’autre part une uniformisation et un égalitarisme à une échelle immensément large, par un effacement de toute frontière, de toute différence et aussi de toute diversité.

Conférence de presse du Conseil Fédéral (Suisse) – 20 août 2025

https://www.youtube.com/live/EBe98yQZSU0

Il est très intéressant de déceler ce qui est dit et comment, y compris dans les réponses aux questions de la dernière partie.

Documents officiels y relatif

http://news.admin.ch/fr/newnsb/bsK3eKI4YEBk2WV4neaE8…

Il vaut la peine de les lire en entier et attentivement.

En particulier le chapitre suivant:

Quelques extraits de la conférence de presse

Prise de parole de Madame Elisabeth Baume-Schneider

9 min 04: “ …ce qui est nouveau, c’est que la révision donne aussi à la Confédération, la possibilité de prendre des mesures à l’échelle nationale, même en-dehors d’une situation particulière – on peut penser à l’obligation du port du masque dans les transports publics à titre d’exemple. “

10 min 48: (traduit en français) “ …le signalement des cas doit se faire à l’aide d’un système électronique efficace. “

11 min 07: (paraphrasé en français) “ … et l’utilisation du fax ne sera plus accepté par l’OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique), qui ne sera plus obligé de l’accepter, comme ce fut le cas durant la crise Covid. “

11 min 44: (paraphrasé en français) “ …l’OFSP (Office Fédéral de la Santé Publique) peut par exemple soutenir le développement et le financement de nouveaux anti-biotiques par la Suisse. “

13 min 12: (traduit en français) “ Nous voulons relever les défis majeurs du système de santé. Cela inclut la lutte accrue contre la résistance aux antibiotiques. “

13 min 27: (traduit en français): “ L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) décrit le danger de l’augmentation de la résistance aux antibiotiques comme une pandémie silencieuse. “

13 min 40: (traduit en français) “ Les anti-biotiques sont l’une des avancées les plus importantes de la médecine moderne, mais leur efficacité est sérieusement entravée par le nombre croissant de pathogènes résistants. “

14 min 44: (paraphrasé sous la forme d’une remarque) …on insiste bien sur la menace que représentent les maladies transmissibles et/ou la résistance aux anti-biotiques…

Prise de parole de Monsieur Lukas Engelberger

21 min 33: (paraphrasé en français sous la forme d’une remarque) …une fois encore on mentionne la résistance aux anti-biotiques ainsi que la numérisation de la transmisson et de la récolte des données médicales…

21 min 43: (traduit en français) “ Un aspect important est aussi le renforcement de l’approche “One Health“ vers une étroite collaboration entre les domaines de l’être humain, l’animal et l’environnement. Nous soutenons cette aspiration explicitement. “

22 min 22: (traduit en français) “ Dans le cas d’une gestion de crise, il est important que la Confédération et les cantons bénéficient d’une certaine marge de manoeuvre/liberté d’action et puissent réagir avec flexibilité. “

Questions-réponses

De l’obligation vaccinale

36 min 30: (paraphrasé) “ …choisir de se faire vacciner ou pas est un droit trictement personnel… » “…il n’y a aucune crainte à avoir que l’on glisse des obligations sur la vaccination… “

36 min 55: (paraphrasé) “ …par contre, ce qui change, c’est que l’on veut que les cantons facilitent l’accès à la vaccination pour les adultes et les jeunes adultes, par exemple que l’on ait le droit maintenant de se faire vacciner dans les pharmacies, et aussi que celles-ci (tout comme les assurances, les médecins de famille et les pédiatres) soient obligées de transmettre les données/informations de manière anonymisée de toute personne venue consulter et/ou se faire vacciner ou pas, afin que l’on ait les statistiques au sujet de la vaccination dans une situation particulière, mais aussi en situation normale, afin de connaître le taux de vaccination. Ce sont les données qui nous manquent pour le moment. “

De la résistance croissante des germes aux traitements anti-biotiques

37 min 57: (traduit-paraphrasé en français) “ …point nouveau et important de cette révision de la Loi sur les Épidémies (LEp); loi qui intègre et s’adresse désormais aussi à cette problématique, qui sera notamment concernée et approchée par l’arrivée d’une nouvelle génération d’anti-biotiques en Suisse aussi; “

Quelques extraits du document

Clarifier la répartition des compétences

“ Une partie de la loi spécifique COVID-19 sera en outre intégrée dans la LEp. “

Renforcer la surveillance

“ La nouvelle réglementation prévoit la numérisation, une meilleure interconnexion, ainsi que le renforcement des systèmes et des méthodes de surveillance des maladies transmissibles, tels que le système national de déclaration, … “

Garantir l’approvisionnement en biens médicaux importants

“ La révision de la loi prévoit aussi l’optimisation du financement des vaccins, des tests et des médicaments acquis par la Confédération, grâce à la simplification des règles et à l’élargissement des possibilités de financement. “

Lutter contre les résistances aux anti-biotiques

“ Le nombre croissant d’agents pathogènes résistants aux antibiotiques représente également une menace pour la santé publique. C’est pourquoi la révision de la loi prévoit d’introduire des nouvelles mesures pour lutter contre les résistances aux antibiotiques et prévenir les infections associées aux soins (infections nosocomiales). La mise à disposition d’antibiotiques sera encouragée par des incitations financières afin de renforcer la recherche et le développement de nouveaux antibiotiques et de garantir leur disponibilité en Suisse. L’approche One Health, qui se concentre sur l’interdépendance entre santé humaine, santé animale, santé des plantes et de l’environnement, sera également renforcée. “

Révision de la loi sur les épidémies

“ La révision tient compte des enseignements tirés de la pandémie de COVID-19 et permet à la Suisse de mieux faire face aux futures crises sanitaires, notamment de mieux prévenir et combattre l’antibiorésistance. “

“ La pandémie de COVID-19 a montré que de nombreux aspects de la loi ont porté leurs fruits. “

“ Il faut tenir compte du fait que chaque crise est différente. “

“ …renforcer la détection précoce des maladies transmissibles, … garantir un approvisionnement suffisant en biens médicaux importants. “

Situation particulière et situation extraordinaire

“ Il y a « situation particulière » dans les cas suivants :

les organes d’exécution ordinaires ne parviennent pas à prévenir et à combattre suffisamment l’apparition ou la propagation d’une maladie transmissible et il existe un risque spécifique pour la santé publique ou il existe de graves répercussions sur l’économie ou d’autres secteurs vitaux, ou

l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a constaté la présence d’une urgence sanitaire de portée internationale présentant un risque spécifique pour la santé publique en Suisse.

Une « situation extraordinaire » est une situation dans laquelle il existe un risque extraordinaire pour la santé publique et qui requiert des mesures pour lesquelles la LEp ne contient aucune base légale. Il s’agit d’une disposition d’urgence inscrite dans une loi spéciale qui concrétise la compétence du Conseil fédéral d’édicter des ordonnances de nécessité en vertu de l’art. 185, al. 3, Cst. “

Principales nouveautés

“ Un accès facilité aux tests et aux vaccinations, par exemple grâce à la vaccination en pharmacie. “

“ Une meilleure sécurité à l’hôpital grâce à l’utilisation appropriée des antibiotiques et à la prévention des infections associées aux soins. « 

Détection des menaces et surveillance de la situation

“ … utiliser plus systématiquement de nouvelles possibilités techniques … la numérisation et l’harmonisation des systèmes de déclaration. “

“ … faire avancer la numérisation et d’harmoniser les systèmes de déclaration au niveau national. À cet effet, l’OFSP met à disposition un système d’information national adapté aux crises. Des interfaces seront intégrées dans les systèmes d’information des hôpitaux, des cabinets médicaux et des laboratoires, dans le respect des normes internationales. “

Vaccination

“ Le recensement statistique du nombre de personnes vaccinées, … “

“ Les dispositions sur les vaccinations obligatoires demeurent en revanche inchangées : une telle mesure reste applicable uniquement dans des cas très exceptionnels (grave danger) et pour les groupes de personnes vulnérables ou particulièrement exposées. Toute vaccination forcée (c’est-à-dire l’exécution forcée d’une vaccination) est exclue. “

Antibio-résistance

“ Lorsque l’antibiorésistance met en danger la santé des personnes traitées et du personnel ou nuit à la qualité des traitements, le Conseil fédéral peut imposer différentes mesures aux hôpitaux et autres établissements de santé publics ou privés. “

Ce qui frappe, que ce soit par oral ou par écrit

1/ Faire “comme si de rien n’était“ par rapport à la “Circonstance Covid-19“ (comme je la nomme)

Les autorités s’expriment sur le sujet (“pandémies futures“), “comme si de rien n’était“, c’est-à-dire sans remettre en cause ce qui doit l’être sans plus aucun doute ni possible ni permis aujourd’hui et en remettant en cause ce qui ne doit pas l’être, également sans plus aucun doute ni possible ni permis aujourd’hui.

Un déni ou un mensong bien solide, qui leur permet de continuer de valider l’irrationnel et l’absurde du passé et donc de les réutiliser pour l’avenir, comme par exemple l’utilisation de masques de protection, de même que l’interdiction de travailler, selon la situation sanitaire qui serait et qui mettrait en péril votre santé et/ou la santé de tous les suisses, n’est-ce pas…

2/ Nouveau pouvoir conféré au Conseil Fédéral

En cas de situation particulière/extraordinaire définie comme suit:

Le plus important à noter ici (à mon sens) est la mainmise de l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) dans les affaire politiques et sanitaires suisses et la soumission totale des autorités suisses à l’OMS, sans résistance aucune, de plein gré. Cela en dit long. Gravissime.

3/ La place prépondérante réservée à la résistance des germes aux anti-biotiques

On assiste à une véritable obsession de la résistance croissante des agents infectieux face aux traitements anti-biotiques actuels.

Intérêt sans nul doute très marqué et soit-disant bienveillant, qui joue le rôle d’un parfait alibi pour justifier les besoins de la cause, à savoir la promotion de “One Health“ et de dits vaccins, anti-biotiques et médicaments à ARNmodifié. Et à ce titre, pour justifier l’accent et les efforts qui seront mis sur une facilitation et optimisation des moyens de financement de ceux-ci, ainsi que sur une facilitation et une optimisation généralisées de l’accès aux dits tests, vaccins, anti-biotiques et médicaments.

4/ L’intégration dans la Loi sur les Épidémies (LEp), de la problématique “antibio-résistance“

« La fin justifie les moyens »

La révision de la LEp notifie que désormais cette loi s’adresse et s’occupe également de la thématique de l’antibio-résistance croissante des germes aux traitements antibiotiques actuels.

37 min 57: (traduit-paraphrasé en français) “ …point nouveau et important de cette révision de la Loi sur les Épidémies (LEp); loi qui intègre et s’adresse désormais aussi à cette problématique, qui sera notamment concernée et approchée par l’arrivée d’une nouvelle génération d’anti-biotiques en Suisse aussi; “

Forcément, ne peut-on s’empêcher de dire, puisque depuis quelques années, déjà avant la “Circonstance Covid-19“ (comme je la nomme), l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) met en garde contre la Résistance aux Anti Microbiens (RAM).

Source: World Journal of Clinical Cases (VJCC), february 2023

https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10013119/

Title: Flare of the silent pandemic in the era of the COVID-19 pandemic: Obstacles and opportunities

Extract: “Before the COVID-19 pandemic, the World Health Organization (WHO) classified AMR as one of the top ten most critical global health problems.“

AMR = Anti Microbial résistance

Traduction française: https://pmc-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/articles/PMC10013119/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=rq#:~:text=INTRODUCTION,and%20stop%20responding%20to%20medication

Titre: La flambée de la pandémie silencieuse à l’ère de la pandémie de COVID-19 : obstacles et opportunités

Extrait: “Avant la pandémie de COVID-19, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) classait la RAM parmi les dix problèmes de santé mondiaux les plus critiques.

RAM = Résistance aux Anti Microbiens

Remarque: à ma connaissance, contrairement à ce que dit (rapporte ?) Madame E. Baume-Schneider lors de la conférence de presse (13 min 27): (traduit en français) “ L’ OMS (Organisation Mondiale de la Santé) décrit le danger de l’augmentation de la résistance aux antibiotiques comme une pandémie silencieuse. “ , l’OMS ne semble pas s’exprimer en ces termes et ne parle nulle part de “pandémie silencieuse“. L’OMS parle de “AMR as one of the top ten most critical global health problems – en français: “RAM parmi les dix problèmes de santé mondiaux les plus critiques.“ Ce qui est sensiblement différent.

En revanche, fait très intéressant, l’expression est utilisée par les auteurs de l’article précité, qui en ont fait son titre, et par d’autres auteurs d’articles ou d’informations médico-scientifiques (dont par exemple Swissmedic, en Suisse) , et (alors) par tous les médias dits officiels ! – RTS comprise ! , et par le Conseil Fédéral !

Nous y sommes. …si vous voyez ce que je veux dire…

Quelques considérations

Que ce soit lors de la conférence de presse ou dans les documents officiels y relatifs, il est dit et répétés à l’envi que (paraphrasé) “la pandémie Covid-19 nous a appris/montré ceci et cela…“, en reprenant pourtant toujours “les mêmes“, sans rien corriger et/ou remettre en cause ce qui doit l’être.

Qu’ont appris les autorités (et les “experts“ en la matière) de cette “Circonstance Covid-19“ (comme je la nomme), ainsi qu’elles le prétendent ? On se le demande bien et avec raison.

Aucun individu sain d’esprit et doté d’une intelligence même ordinaire ne peut plus ne pas être au fait de ce que dit la science, la vraie, sincère, appliquée, étudiée, analysée et comprise avec l’aide de la raison et de la logique, sur le sujet “Covid-19“. Personne ne peut plus aujourd’hui, adhérer pleinement et de bonne foi au contenu du discours du Conseil Fédéral et/ou des documents y relatifs, lesquels s’appuient désespérément sur cette dite pandémie, pour justifier in casu le concept “ONE HEALTH“, qui constitue une des nombreuses tentacules du “NEW WORLD ORDER“ / “ONE WORLD“.

Comment font alors les autorités (et leurs “experts“) pour y adhérer elles-mêmes ? Feraient-elles semblant ?

Aristote doit se retourner dans sa tombe !

La nouveauté du moment, c’est de faire peur avec le nombre croissant d’agents pathogènes qui résistent avec de plus en plus d’efficacité aux traitements anti-biotiques existant. Information et communication sur un ton plutôt alarmiste, afin d’amener les gens à adopter une soit-disant solution, qui n’en sera pas une, c’est tout vu d’avance. Le but est ailleurs, comme on vient de le voir et comme il vaut la peine de le répéter.

Tout esprit médico-scientifique sincère et bien intentionné (primum non nocere) porte en premier lieu son attention dans la direction exactement inverse, c’est-à-dire en amont, vers la cause et non pas en aval. Et lui viennent alors les questions suivantes:

-pourquoi et comment en est-on arrivé là ?

-pourquoi de plus en plus d’agents pathogènes résistent aux traitements anti-biotiques ?

-que peut-on faire “à la source“, pour éviter au maximum d’avoir besoin de (tant d’) anti-biotiques et de (tant de) médicaments ?

La meilleure prévention étant de faire en sorte de rester en bonne santé, afin de ne pas avoir besoin d’aucun traitement (curatif) et surtout d’aucun traitement par des substances ou produits de synthèse et/ou pétro-chimiques, c’est-à-dire toxiques par définition; plus ou moins, mais toujours toxiques pour l’organisme humain, comme pour tout organisme vivant d’ailleurs.

Questions auxquelles les réponses existent, pour celui qui veut savoir.

Cette course-poursuite en aval ne peut représenter la solution. C’est tellement évident ! Pour n’importe quel souci de santé, pas uniquement les infections. Comment pouvoir penser s’en sortir intelligemment et efficacement, sans se pencher avec soin et en premier lieu sur la ou les causes ?

[ ndlr: cf. l’article sur la douleur chronique ]

Antoine Béchamp, ( 1816 – 1908 ), médecin, chimiste et pharmacien français, ainsi que de nombreux autres, avant, en même temps que et après lui, ont bien expliqué et largement démontré, depuis le temps ! , que ce sur quoi il faut se pencher et agir est le milieu intérieur, le terrain, les liquides, qui, s’ils sont impropres et en état de déséquilibre, auront pour conséquence que l’organisme ne pourra pas exercer sainement et correctement ses fonctions, quelles qu’elles soient (croissance, contrôle, entretien, réparation, renouvellement, tri, sélection, évacuation, …)

Sir Emanuel Swedenborg ( 1688 – 1772 ) ainsi que la Médecine Ostéopathique dans toute sa noblesse, savent cela par excellence.

À retenir

En matière de santé, une soumission totale des autorités à l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) est en cours depuis plusieurs années et très activement depuis 2020 et la “Circonstance Covid-19“ (comme je la nomme) qui a fait partie du projet et qui semble être devenue “la“ référence en matière de santé et de santé publique, mentionnée à tout bout de champ par les autorités, les “experts“ et autres, le dernier exemple en date étant précisément lors de cette conférence de presse du 20 août 2025 au sujet de la révision de la Loi sur les Épidémies (LEp).

L’objectif est l’implantation du concept “ONE HEALTH“ et tout ce qui va avec – qui n’a rien de bien intentionné – qui est sous-jacent à toutes les décisions relatives à la santé prises par les autorités suisses, à commencer par une augmentation des pouvoirs du Conseil Fédéral pour imposer en temps voulu ce qui sera nécessaire et indispensable à la réalisation de ce but.

L’obsession de l’antibio-résistance croissante des germes, n’est qu’un prétexte pour habituer les gens à ce qui est déjà en place: la nouvelle génération de médicaments, anti-biotiques et dits vaccins – notamment ceux à ARNmodifié.

Une facilitation et une optimisation du financement et de l’accès aux dits médicaments, tests, vaccins pour tous, comme moyen d’incitation à “consommer“.

Un traçage des contacts et/ou de la vaccination/médication à des fins soit-disant uniquement statistiques (taux de vaccination dans la population suisse / suivi d’un anti-biotique ou médicament prescrit et administré/“consommé“), alors qu’il s’agit en réalité et in fine de suivre et contrôler tous les citoyens et résidents suisses, dans tous les aspects de leurs vies de tous les jours.

Une surveillance généralisée, qui sera notamment rendue possible “grâce à“ – il faudrait plutôt dire  “à cause de“ – une optimisation et une harmonisation par le “tout numérique“ de la circulation de l’information  – in casu – sur la santé des individus entre assureurs, médecins, pharmaciens, qui seront contraints de transmettre les données de santé de leurs clients de manière dite anonymisée, promet-on…

NOTA BENE

La promotion de l’identité électronqiue [ e-ID ] et du dossier médical électronique du patient [ DEP ] font partie de ce même plan diabolique « ONE », in casu au soit-disant service de la santé et de manière plus globale au service du “Nouvel Ordre Mondial“ / “One World“ / New World Order“. 

Conclusion

Ci-dessous, en image, un paragraphe à bien garder en mémoire.

Ce paragraphe dit en effet à peu près tout, explicitement ou implicitement, mais surtout, il utilise une vérité pour alimenter une fausse solution, une non-solution.

S’il est bien juste de dire qu’une bonne santé passe par un environnement (terre, air, eau) sain, ce qui signifie également des plantes et des animaux en bonne santé, il est cependant utile de préciser qu’il s’agit normalement de santé préservée et/ou obtenue par des moyens les plus naturels, harmonieux et non nuisibles que possible.

C’est pourquoi il est insupportable de voir comment cette vérité est utilisée pour justifier (à tort) auprès des populations des moyens hautement artificiels et/ou toxiques, pour soit-disant atteindre ce but (noble en soi), ce qui ne sera pas le cas, c’est certain.

Pourquoi? Premièrement parce que ce n’est tout simplement pas le réel objectif et secondement parce que ce n’est pas par les moyens proposés et/ou visés qu’il serait atteint.

Vouloir amener les gens à penser que c’est la technologie à outrance * , dans tous les domaines de la vie et au niveau de tous les règnes (minéral, végétal, animal et humain) qui permettra un monde meilleur et plus sain est une scandaleuse tromperie qui se doit d’être dénoncée.

* les substances chimiques toxiques déversées dans le ciel et l’atmosphère, les ondes/champs életromagnétiques aux effets délétères, la manipulation génétique d’absolument tout ce qu’il est possible de manipuler, la techno-médecine avec par exemple les dits vaccins et médicaments à ARNmodifié, la numérisation de tout ce qu’il est possible de numériser, qui permet notamment le suivi (traçage) et le contrôle (surveillance) ininterrompus des populations animales et humaines, la robotique, le transhumanisme, …, etc. etc.

Au final

On prend les mêmes et on continue !

  • faire peur avec l’environnement “malade“
  • faire peur avec les animaux malades
  • faire peur avec les humains malades – et une soit-disant inéluctable prochaine dite pandémie
  • faire peur avec la résistance des germes face aux anti-biotiques devenus impuissants – la nouvelle dite pandémie silencieuse
  • faire peur avec la pénurie de médicaments/vaccins/(nourriture/eau/…) pour “sauver“ l’humanité de tout cela.

Faire peur par tous les moyens pour arriver à ses fins.

La peur est susceptible d’altérer les fonctions et propriétés du mental, dont la raison et la logique.

Ne vous laissez pas tromper puis manipuler de la sorte.

Tout cela n’a rien à voir avec votre santé, ni celle de vos enfants ou de vos grands-parents, ni celle des animaux, ni celle des plantes, ni celle de la terre et de l’atmosphère.

Ce projet-concept “One Health“ ne comporte rien de bon ni de bienveillant. Bien au contraire.