Quel dommage !

Sur le terrain, je constate en effet tous les jours combien la Médecine Ostéopathique est sous-utilisée voire ignorée – probablement par méconnaissance – par ces trois disciplines médicales.

Et le premier qui en subit les conséquences, c’est évidemment le patient et sa santé, qui passent à côté de l’opportunité de bénéficier de la complémentarité que représente l’apport d’une prise en charge ostéopathique dans de tels contextes.

Viennent ensuite les conséquences que nous savons dans le monde du travail et enfin les coûts de la maladie et des accidents – chaque jour un peu plus d’actualité parce qu’un peu plus élevés…

Dans le meilleur des cas et dans bon nombre de cas: (quelques exemples)

Un oedème suite à un accident/traumatisme peut être plus efficacement résorbé par l’action de la Médecine Ostéopathique.

Une fracture plus sainement et plus rapidement consolidée.

La physiothérapie plus efficace, pour un meilleur résultat.

La rééducation et la récupération des facultés, plus harmonieuses et plus performantes.

Un prématuré plus solide et donc face à moins de soucis et de risques.

…

Concernant la réanimation, le sujet est délicat. J’ai cependant la certitude que l’Ostéopathie (telle que je la conçois et pratique) pourrait apporter sa part de bénéfices dans de telles situations, qu’elles concernent l’adulte, l’enfant, le petit enfant, le nourrisson, le nouveau-né, ou encore le prématuré.

L’appel est lancé.